La passion de la luxure... Muse [Admin]

Je crois que je n'arrive toujours pas à réaliser ce qu'il c'est passer l'autre jour. Cela faisait depuis trois jours que je n'avais pas bouger de mon emplacement, derrière la porte de la maison, j'avais juste appeler Séville pour dire à quelqu'un de venir chercher les enfants... la raison : Besoin de vacances. C'était faux bien évidemment, et ce n'était aucunement mon style, la vrai raison était que j'étais totalement incapable de m'en occuper. Ann était venue, j'avais sortie mon plus beau sourire mais il était tellement faux que la jeune Espagnole avait directement compris mais aussi proches nous étions ma demande de se taire fut respecter c'était ainsi qu'elle m'avait laisser seule en me demandant de lui faire la promesse de ne rien faire de stupide. Mon dieu je lui avais réellement fait cette promesse là ? Plus le temps passait plus je trouvais ça stupide de lui avoir promis cela.

Je n'avais pas été travailler depuis tout ce temps et encore moins à Poudlard. Personne ne m'avait fait de remarque, en même temps jamais personne ne m'avait demander chez les aurors, je soupçonnais la personne que je fuyais d'avoir été y mettre son nez. Le plus étonnant pour moi était que Amélia n'avait pas encore essayer de démonter ma porte ni faire exploser ma maison pour me faire sortir, je trouvais ça louche... n'était elle pas chez elle ces derniers trois jours?

Lentement je commençais à sortir de mon état de choc pour commencer la première phase du suicide : Penser à l'être perdu, nuits et jours jusque à ce les larmes viennent. Déverser autant de larmes que jamais aucun corps heureux ne pourra le faire... pleurer encore et toujours sans jamais se laisser aucun repris... même quand vous vous endormiez car vous étiez trop fatigués les larmes coulaient encore le long de vos joues. Pour le moment j'en étais là, je ne sais pas quand la phase deux allait se passer... en sachant qu'il y en avait quatre finissant bien évidemment par une vie qui s'éteint.

J'ouvre les yeux, je regarde autours de moi, tout est floue mes yeux ne se sont toujours pas arrêter malgré ma volonté, c'est mon coeur qui pleure pas mon âme... elle ne veut que s'en aller, celle ci est tellement fatiguée de se battre qu'elle appuie sur le bouton suicide à longueur de temps comme une autre pourrait le faire avec la cigarette dans la tête d'un fumeur.
Je n'ai aucune idée de l'endroit où je suis car comme tous les matin mes souvenirs s'en sont allé mais il ne me faut pas longtemps pour qu'ils reviennent. Je suis dans le hall comme toujours, vêtue de la même tenue qu'il y a trois jours. Mon téléphone est juste à côté, ma main le saisit et regarde l'heure, 7 heures 29, mon coeur se brise c'est le matin habituellement Evan m'embrasse à cet heure.
Nous sommes au matin du 4 ème jour et c'est seulement maintenant que je me rend compte des divers numéros afficher sur l'écran de mon objet moldus, il y en a tellement que je n'essaye même pas de regarder à qui ils sont... de toute façon j'en ai rien à faire. J'efface tout d'un seul clic et appuie à nouveau sur une touche qui compose immédiatement le numéro de mon double.

Amélia, Ayúdame.

Je ne crois pas me rappeler d'une seule fois où ma voix fut aussi faible. Je lâche le téléphone en raccrochant. Mon savoir sait que ma jumelle va se ruer sur la porte, c'est donc en faisant un effort surhumain que je m'écarte de la porte d'entrée dont je défait le verrou d'un coup de baguette et je reste allongée sur le sol pendant ce temps, je regarde le plafond que j'ai envie de faire voler en mille morceau en sachant que notre chambre se trouve au dessus, j'ai envie de tout détruire en fait... tout.